![]() I would also like to deeply thank my committee members, Prof. Guy Davidov, for his devoted guidance, for many helpful discussions and suggestions, and for his constant support. I would like to convey my deep gratitude to my supervisor, Prof. Postdoctoral Fellow, The Labor & Worklife Program, Harvard Law School (recipient of Fulbright-ISEF fellowship). * Ph.D., Hebrew University Faculty of Law. En même temps, cet article suggère que les règles par défaut permettront également aux parties de négocier et de s’entendre sur la valeur financière des heures de travail supplémentaires d’une manière qui tient compte tant des nouvelles possibilités de l’ère numérique que des objectifs du droit du travail. Cette protection est possible par le format et la logique des technologies de communication de l’information. Cet article propose donc des règles par défaut qui assurent une protection de base au salarié et maintient l’idée que les salariés doivent être rémunérés pour leur temps de travail réel et bénéficier d’un véritable temps de repos pendant la journée de travail. Cet article soutient que ces modèles antagonistes n’offrent que des solutions partielles et souffrent tous deux de lacunes importantes : soit ils ignorent les changements spectaculaires introduits dans le monde par les technologies numériques, soit, et pire encore, ils ignorent les idéaux et objectifs fondamentaux des droits reliés au travail.Įn se basant sur cette tension entre le droit du travail et la technologie, cet article propose un nouveau paradigme de réglementation du temps de travail - un paradigme qui permettrait de réconcilier la logique et la structure de flexibilité du monde numérique avec les principes fondamentaux du droit du travail. La seconde souhaite accueillir les nouvelles capacités technologiques permettant de travailler à toute heure et en tout lieu et fait abstraction du rôle dominant que joue le temps en droit du travail. La première souhaite revenir à la notion classique de temps de travail et délimiter l’horaire de travail. Il le fait en explorant l’écart apparent entre les notions de travail et de repos de jure, en particulier au Canada, et la façon dont les gens organisent leur temps de travail de facto, compte tenu des progrès technologiques leur permettant de travailler à distance.Ĭes nouveaux défis que rencontre la notion de temps de travail ont conduit à deux propositions principales quant à sa réglementation. At the same time, this article suggests that the default rules will also enable the parties to negotiate and agree on the financial value of additional working hours, in a way that takes into account the new possibilities of the digital age along with the purposes of labour rights.Ĭet article s’efforce d’analyser le concept du temps de travail à l’ère du numérique. ![]() This protection is enabled through the format and logic of information communication technology. This article thereby proposes default rules that provide basic protection to the employee and retain the idea that employees should be compensated for their actual working time and enjoy genuine rest time during the workday. This article argues that these opposing models provide only partial solutions and both suffer from crucial deficiencies: they either ignore the dramatic changes in the world introduced by digital technology, or worse, they ignore the basic idea and purposes of labour rights.īased on this struggle between labour law and technology, this article suggests a new paradigm for working time regulation-one which brings together the logic and structure of the new flexible online world with the basic principles of labour rights. The other aims to celebrate the new technological capabilities to conduct work anytime and anyplace and disregards the dominant role of time in labour law. The first aims to return to the classical concept of working time and to restrict the working schedule. These recent challenges to the notion of working time have led to two main proposals of regulation. ![]() It does so by exploring the apparent gap between de jure notions of work and rest times, especially in Canada, and the way that people conduct their work time de facto given the technological advancements that enable them to work from a distance. This article strives to unpack the concept of labour time in the digital reality. ![]()
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